Le cheval dans la tradition Celte
De tout temps et à tout âge, le cheval a eu une place à part auprès des hommes.
Créatures mythique et mystique par excellence, il représente dans certaines culture un animal sacré, dans d’autres un moyen de voyager entre les mondes.
Liath Macha, Dub Sainglend, Roi Marc’h, parmis tant d’autres, sont des exemples de chevaux de la tradition Celte qui ont une relation particulière avec l’homme, le roi, la divinité.
Ainsi dans la tradition Celte, l’homme à cheval est le symbole de l’initié voyageant entre les mondes et ayant accès à la médecine de l’invisible.
Déopona
En tant que thérapeute Déopona, j’ai été initié à cette pratique de l’homme à cheval.
Je procure des soins et equi-coaching.
Cette puissante connexion avec le cheval lors des soins permet des fortes libérations parfois spectaculaires.
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Soins
Equi-Coaching
L'approche en équi-coaching va permettre d'aborder divers problématiques et objectifs que vous souhaitez ateindre.
YEGroup propose en plus du coaching « conventionnel », de l’équi-coaching en collaboration avec l’asbl PandP .
Le cheval, révélateur de notre non verbale et de nos émotions.
La communication non verbale représente 90% de notre communication.
Le cheval a la capacité de percevoir les moindres signaux non verbaux qui indiquent si oui ou non il est en sécurité dans son environnement. Pour faire confiance et coopérer, le cheval doit sentir que la communication de l’homme est appropriée. Il nous permet alors de prendre conscience de notre non verbale et de la congruence avec nos propos.
Le cheval ne suivra nos directives uniquement si nous lui donnons l’envie de coopérer. Il répond immédiatement dans l’exercice de l’autorité ou de l’influence.
Le cheval est un être doté d’une hypersensibilité.
il détecte vos émotions avant que vous n’en ayez conscience. Il ne triche pas et n’élabore pas de stratégie. Il détecte des signaux chez l’humain mais ne peut être ni manipulé ni influencé. Le cheval ne croit pas, il se souvient, il réagit, il vit dans l’immédiateté de ses besoins et n’intègre pas la dimension affective de l’humain.
Seule la réalité de la situation compte, il ne peut donner sa confiance sans avoir au préalable identifié l’autre comme étant non prédateur et digne de respect.